23 octobre 2008
Les viscères de la capitale
Parasite anonyme De la masse qui grouille Sur la bête cacochyme Que les canidés souillent, Je parcours l’épiderme, Pollué de crachats, comme De crottes, d’urine, de sperme Et de tâches de chewing-gums. Les gaz d’échappement S’accrochent à ses vêtements...